Publié le 18/12/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Grimbergen, le 18 décembre 2018 – Insight prévoit trois grandes tendances IT en 2019 : l’essor des micro-services, une confiance accrue en l’intelligence artificielle (IA) ainsi qu’un nouveau rôle - plus vaste - joué par l’IT au sein de l’entreprise. Telles sont les prévisions de Michael Guggemos, CIO d’Insight. Si ces tendances représentent certes de véritables défis pour les entreprises, elles leur offrent également de nouvelles opportunités.
L’essor des micro-services
Nous assisterons en 2019 à un glissement du Cloud computing conventionnel vers les micro-services. À l’heure actuelle, la plupart des services Cloud prévoient un accès payant à des ensembles d’applications (par exemple Office 365 avec, en plus, un espace de stockage dans le Cloud). Toutefois, avec ce genre de solutions, de nombreuses organisations paient souvent pour des services qu’elles n’utilisent pas.
Michael Guggemos, le CIO d’Insight, prévoit une approche plus intelligente à l’avenir : « L’une des prochaines étapes logiques fera en sorte que les entreprises ne paient que pour les applications et les services qu’elles utilisent vraiment. Cela mènera à davantage d’efficience, puisque les travailleurs ne devront plus absolument recourir à un ensemble tout compris, mais n’utiliseront plus que l’outil correspondant au mieux à leur job ».
Cette évolution aura toutefois des effets secondaires. Les fournisseurs de logiciels vont en effet devoir scinder leurs ensembles logiciels tout en garantissant l’intégrité de chacune de leurs applications. Les départements IT devront à leur tour être en mesure de gérer parfaitement la diversité des utilisateurs, des applications que ceux-ci utilisent et des prestataires (fournisseurs de logiciels, Cloud providers).
La peur de l’intelligence artificielle va s’estomper
L’engouement suscité par l’intelligence artificielle a connu son apogée en 2018. Ce qui a malheureusement aussi engendré une certaine inquiétude concernant tout ce qu’allait désormais permettre cette fameuse IA. En d’autres termes … des scénarios catastrophes. Nous allons passer dès 2019 à la phase suivante de ce cycle : une adoption certes progressive, mais à grande échelle par les entreprises. L’IA ne constitue en effet pas une calamité, mais une vraie opportunité. Étant donné que l’IA va désormais s’inscrire dans le quotidien des entreprises, les fréquentes inquiétudes portant sur les éventuelles suppressions d’emplois vont s’estomper. On constate d’ailleurs d’ores et déjà une intégration plus paisible de l’IA au sein d’applications du monde réel. Des fournisseurs tels que AWS (Amazon) et Microsoft proposent des services IA en guise d’architectures de référence pour des services plug & play standard. Et les travailleurs prennent conscience du fait que l’IA aide davantage les humains qu’elle ne les remplace.
L’IA offre un énorme potentiel de transformation de la gestion quotidienne d’une entreprise. Cela va de la réduction du planning des hauts dirigeants à l’optimisation des datasheets, en passant par la reconfiguration des flux de trafic sans la moindre intervention humaine. Ceci étant, comme pour toutes les technologies applicatives, l’IA dépend entièrement des données disponibles. C’est la quantité et la qualité de celles-ci qui déterminent leur efficacité.
« Nous allons constater dès 2019 une nouvelle impulsion portant sur toutes les fonctions commerciales - et pas seulement l’IT et le marketing – et allant dans le sens d’une utilisation maximale des services numérisés et gérés par l’IA. Il faudra par ailleurs aussi générer des flux de données supplémentaires », assure le CIO d’Insight Michael Guggemos.
La position de l’IT au sein de l’entreprise : les professionnels IT tirent la sonnette d’alarme
Les frictions entre le département IT et l’entreprise augmentent, car ce département est tiraillé entre le souci d’innovation et la gestion quotidienne. Bien que la conversion numérique constitue une priorité permanente des entreprises depuis plusieurs années, les tensions entre l'IT et le business augmenteront encore en 2019. Plus de la moitié des décideurs IT de Belgique s’attendent à ce que leur rôle traditionnel soit préservé (*). Avec tout ce que cela implique. Ils estiment qu’en l’absence de moyens suffisants, le département IT ne parviendra pas à mener à bien les nombreuses tâches qui lui sont confiées. L’organisation attend du département IT qu’il apporte du soutien, notamment pour les affaires IT quotidiennes telles que l'assistance, la protection, les mesures RGPD, etc., mais aussi qu’il prenne l’initiative de lancer des projets innovants qui favorisent le développement des activités. Deux tiers des professionnels IT estiment disposer de moyens insuffisants pour soutenir adéquatement l'organisation. Un tiers pense qu’une absence de rôles et responsabilités bien définis leur porte préjudice.
L’une des raisons de ces tensions réside aussi dans la façon dont on considère le département IT. Il est en effet paradoxal de constater que les organisations attendent toujours plus de leur département IT en matière de développement et de soutien d’initiatives visant à assurer la croissance des affaires et que parallèlement, la plupart des personnes considèrent encore avant tout ce département comme un centre de coûts. L’année 2019 marquera l’apparition d’une tendance à considérer le département IT davantage comme un hub d’investissement et d’innovation, ce qui devrait avoir une influence positive, à la fois sur le budget IT et l’affectation d’un personnel nécessaire et dûment qualifié.
L’essor des micro-services
Nous assisterons en 2019 à un glissement du Cloud computing conventionnel vers les micro-services. À l’heure actuelle, la plupart des services Cloud prévoient un accès payant à des ensembles d’applications (par exemple Office 365 avec, en plus, un espace de stockage dans le Cloud). Toutefois, avec ce genre de solutions, de nombreuses organisations paient souvent pour des services qu’elles n’utilisent pas.
Michael Guggemos, le CIO d’Insight, prévoit une approche plus intelligente à l’avenir : « L’une des prochaines étapes logiques fera en sorte que les entreprises ne paient que pour les applications et les services qu’elles utilisent vraiment. Cela mènera à davantage d’efficience, puisque les travailleurs ne devront plus absolument recourir à un ensemble tout compris, mais n’utiliseront plus que l’outil correspondant au mieux à leur job ».
Cette évolution aura toutefois des effets secondaires. Les fournisseurs de logiciels vont en effet devoir scinder leurs ensembles logiciels tout en garantissant l’intégrité de chacune de leurs applications. Les départements IT devront à leur tour être en mesure de gérer parfaitement la diversité des utilisateurs, des applications que ceux-ci utilisent et des prestataires (fournisseurs de logiciels, Cloud providers).
La peur de l’intelligence artificielle va s’estomper
L’engouement suscité par l’intelligence artificielle a connu son apogée en 2018. Ce qui a malheureusement aussi engendré une certaine inquiétude concernant tout ce qu’allait désormais permettre cette fameuse IA. En d’autres termes … des scénarios catastrophes. Nous allons passer dès 2019 à la phase suivante de ce cycle : une adoption certes progressive, mais à grande échelle par les entreprises. L’IA ne constitue en effet pas une calamité, mais une vraie opportunité. Étant donné que l’IA va désormais s’inscrire dans le quotidien des entreprises, les fréquentes inquiétudes portant sur les éventuelles suppressions d’emplois vont s’estomper. On constate d’ailleurs d’ores et déjà une intégration plus paisible de l’IA au sein d’applications du monde réel. Des fournisseurs tels que AWS (Amazon) et Microsoft proposent des services IA en guise d’architectures de référence pour des services plug & play standard. Et les travailleurs prennent conscience du fait que l’IA aide davantage les humains qu’elle ne les remplace.
L’IA offre un énorme potentiel de transformation de la gestion quotidienne d’une entreprise. Cela va de la réduction du planning des hauts dirigeants à l’optimisation des datasheets, en passant par la reconfiguration des flux de trafic sans la moindre intervention humaine. Ceci étant, comme pour toutes les technologies applicatives, l’IA dépend entièrement des données disponibles. C’est la quantité et la qualité de celles-ci qui déterminent leur efficacité.
« Nous allons constater dès 2019 une nouvelle impulsion portant sur toutes les fonctions commerciales - et pas seulement l’IT et le marketing – et allant dans le sens d’une utilisation maximale des services numérisés et gérés par l’IA. Il faudra par ailleurs aussi générer des flux de données supplémentaires », assure le CIO d’Insight Michael Guggemos.
La position de l’IT au sein de l’entreprise : les professionnels IT tirent la sonnette d’alarme
Les frictions entre le département IT et l’entreprise augmentent, car ce département est tiraillé entre le souci d’innovation et la gestion quotidienne. Bien que la conversion numérique constitue une priorité permanente des entreprises depuis plusieurs années, les tensions entre l'IT et le business augmenteront encore en 2019. Plus de la moitié des décideurs IT de Belgique s’attendent à ce que leur rôle traditionnel soit préservé (*). Avec tout ce que cela implique. Ils estiment qu’en l’absence de moyens suffisants, le département IT ne parviendra pas à mener à bien les nombreuses tâches qui lui sont confiées. L’organisation attend du département IT qu’il apporte du soutien, notamment pour les affaires IT quotidiennes telles que l'assistance, la protection, les mesures RGPD, etc., mais aussi qu’il prenne l’initiative de lancer des projets innovants qui favorisent le développement des activités. Deux tiers des professionnels IT estiment disposer de moyens insuffisants pour soutenir adéquatement l'organisation. Un tiers pense qu’une absence de rôles et responsabilités bien définis leur porte préjudice.
L’une des raisons de ces tensions réside aussi dans la façon dont on considère le département IT. Il est en effet paradoxal de constater que les organisations attendent toujours plus de leur département IT en matière de développement et de soutien d’initiatives visant à assurer la croissance des affaires et que parallèlement, la plupart des personnes considèrent encore avant tout ce département comme un centre de coûts. L’année 2019 marquera l’apparition d’une tendance à considérer le département IT davantage comme un hub d’investissement et d’innovation, ce qui devrait avoir une influence positive, à la fois sur le budget IT et l’affectation d’un personnel nécessaire et dûment qualifié.