Publié le 05/12/2018 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Incontestablement, le développement de la mobilité dans la sphère professionnelle a fortement fait évoluer notre manière de travailler et conduit nombre d'entreprises à repenser leur organisation. Dans ce contexte, force est de constater que de nombreux acteurs, après avoir mis en place des projets mobiles à l'échelle nationale, sautent le pas pour étendre leurs initiatives à l'international.
Oui, mais comment faire ? Est-ce si simple et quelles sont les possibilités qui s'offrent à eux ? Tous ces questionnements légitimes sont autant de points que les entreprises doivent étudier avant de se lancer. Pour simplifier, deux approches semblent cohabiter : l'approche unifiée réalisée par un partenaire unique ou l'approche fédérée. Prenons le temps d'étudier plus en détail ces deux pistes.
L'approche unitaire et pure player
Sur ce point, l'entreprise aura tendance à s'appuyer sur son partenaire local pour lancer son projet mobile à l'international. Cette approche peut paraitre rassurante, car centrée sur un seul point de contact et basée sur la connaissance du partenaire qui a déjà travaillé avec ses équipes. Pour autant, d'un pays à l'autre, les conditions de mise en oeuvre et de lancement ne sont pas identiques et la réplication du model préalablement déployé ne sera pas nécessairement pertinente.
Attention donc à bien cadrer ces aspects « régionaux » et vérifier que son partenaire pourra réaliser le projet de bout en bout en prenant en compte les spécificités locales. Si ces conditions sont remplies, cette démarche peut alors avoir du sens, notamment pour un développement international de « petite ampleur ».
L'approche fédérée et communautaire
Ce deuxième schéma est pour sa part basé sur une notion communautaire où différents acteurs (et souvent concurrents) décident de travailler ensemble au sein d'initiatives communes. L'idée étant de créer des alliances où différents acteurs seront ensuite répertoriés par pays pour mettre en place localement les projets de mobilité qui leur sont confiés. Cette démarche ouverte bouleverse les codes du marché pour se préoccuper d'un seul point : garantir la qualité du projet déployé.
À titre d'exemple, nous pouvons évoquer le modèle de la GEMA, la plus grande alliance internationale dans les services de la mobilité en entreprise regroupant plus de 23 sociétés expertes couvrant 67 pays à travers le monde dont désormais la France avec Digitim . L'intérêt de cette approche est la notion de travail communautaire qui permet au client de s'appuyer sur un réseau de spécialistes qui maitrisent parfaitement leur région et garantissent une gouvernance globale et un suivi des réalisations effectuées.
En conclusion, les entreprises qui souhaitent déployer leur projet mobile à l'international bénéficient donc de deux approches pour lancer leurs opérations. Il convient donc d'étudier précisément ses objectifs et de valider la méthode la plus adaptée à ses besoins avant de se lancer aveuglément sur telle ou telle approche. C'est à cette condition que le projet sera un succès.
Thierry Davigny
Président et fondateur de Digitim
Oui, mais comment faire ? Est-ce si simple et quelles sont les possibilités qui s'offrent à eux ? Tous ces questionnements légitimes sont autant de points que les entreprises doivent étudier avant de se lancer. Pour simplifier, deux approches semblent cohabiter : l'approche unifiée réalisée par un partenaire unique ou l'approche fédérée. Prenons le temps d'étudier plus en détail ces deux pistes.
L'approche unitaire et pure player
Sur ce point, l'entreprise aura tendance à s'appuyer sur son partenaire local pour lancer son projet mobile à l'international. Cette approche peut paraitre rassurante, car centrée sur un seul point de contact et basée sur la connaissance du partenaire qui a déjà travaillé avec ses équipes. Pour autant, d'un pays à l'autre, les conditions de mise en oeuvre et de lancement ne sont pas identiques et la réplication du model préalablement déployé ne sera pas nécessairement pertinente.
Attention donc à bien cadrer ces aspects « régionaux » et vérifier que son partenaire pourra réaliser le projet de bout en bout en prenant en compte les spécificités locales. Si ces conditions sont remplies, cette démarche peut alors avoir du sens, notamment pour un développement international de « petite ampleur ».
L'approche fédérée et communautaire
Ce deuxième schéma est pour sa part basé sur une notion communautaire où différents acteurs (et souvent concurrents) décident de travailler ensemble au sein d'initiatives communes. L'idée étant de créer des alliances où différents acteurs seront ensuite répertoriés par pays pour mettre en place localement les projets de mobilité qui leur sont confiés. Cette démarche ouverte bouleverse les codes du marché pour se préoccuper d'un seul point : garantir la qualité du projet déployé.
À titre d'exemple, nous pouvons évoquer le modèle de la GEMA, la plus grande alliance internationale dans les services de la mobilité en entreprise regroupant plus de 23 sociétés expertes couvrant 67 pays à travers le monde dont désormais la France avec Digitim . L'intérêt de cette approche est la notion de travail communautaire qui permet au client de s'appuyer sur un réseau de spécialistes qui maitrisent parfaitement leur région et garantissent une gouvernance globale et un suivi des réalisations effectuées.
En conclusion, les entreprises qui souhaitent déployer leur projet mobile à l'international bénéficient donc de deux approches pour lancer leurs opérations. Il convient donc d'étudier précisément ses objectifs et de valider la méthode la plus adaptée à ses besoins avant de se lancer aveuglément sur telle ou telle approche. C'est à cette condition que le projet sera un succès.
Thierry Davigny
Président et fondateur de Digitim