Publié le 15/06/2007 Dans Press Releases
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
« Shrek le Troisième » : la magie numérique à l’écran
Tout le monde n’est pas fait pour être roi, en particulier lorsque l’on est un ogre obstiné, qui empeste l’égout. Shrek n’avait pas épousé Fiona pour devenir roi de Fort Fort Lointain. Mais c’est pourtant ce qui lui pend au nez….
La petite histoire pour enfants de William Steig est devenue l’un des films les plus couronnés de l’histoire du divertissement. Avec un premier prix « Academy Award® » décerné en 2002 pour le meilleur film d’animation, l’équipe de Shrek choisit de poursuivre l’aventure. La version 2 enregistre ainsi deux ans plus tard le plus grand nombre d’entrées sur cinq jours de tous les temps.
« Lorsque nous avons commencé à travailler sur le film d’animation Shrek 3, nous avons immédiatement pensé : que peut-on améliorer dans ce prochain épisode ? Quels instruments et techniques souhaitons-nous améliorer ? », confie Lucia Modesto, la directrice technique des personnages. « L’un des atouts majeurs de ce film d’animation réside dans ses personnages uniques et attachants » poursuit-elle. « Lorsque nous avons abordé « Shrek le troisième », nous avons longuement réfléchi aux « personnages hérités ». Shrek, Fiona, l’âne et le dragon ont plusieurs années d’existence, nous ne pouvions les traiter comme des personnages nouveaux, il était essentiel de prendre en compte les progrès techniques accomplis, et d’affiner le rendu des personnages, depuis l’énorme Shrek jusqu’aux minuscules souris aveugles ».
Le dernier opus de « Shrek » exigera ainsi pas moins de 350 personnes, 1320 plans et plus de 130 000 images. « Les progrès considérables accomplis ces dernières années au travers notamment des films d’animation « Madagascar » et « Nos Voisins les Hommes », nous ont permis d’aboutir à ce fabuleux travail de réalisation, confie Stephen di Franco, Corporate Vice President, Global Consumer Channel Sales and Marketing chez AMD. L’amélioration constante de la technologie AMD couplée à celle de HP, a permis à DreamWorks de relever un défi majeur, celui de réaliser plus d’un film d’animation par an ! »
Shrek : fruit d’un partenariat technologique unique entre DreamWorks,
AMD et HP
Créée en 1994 par Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg (ancien responsable de Walt Disney Feature Animation) et David Geffen (le fondateur de Geffen Records), DreamWorks SKG est la société de production et de distribution américaine de renommée mondiale dans le domaine du cinéma, de la musique et des programmes télévisés. La société a installé ses studios à Glendale, juste à côté des studios ABC à Los Angeles, et du campus de Walt Disney Imagineering.
Afin d’étonner davantage le spectateur et repousser une fois de plus les limites de la création, l’équipe artistique de DreamWorks a fait appel à la technologie HP (Serveurs HP ProLiant DL145 et stations de travail HPxw 9300) animée par les processeurs double-cœur AMD Opteron™ pour réaliser Shrek le Troisième.
« L’équipe artistique cherchait à affiner et à enrichir considérablement le rendu des personnages et le traitement simultané des accessoires et des environnements, un vrai travail d’orfèvre », souligne Stephen di Franco. « Grâce à une puissance de calcul supérieure à celle fournie par les systèmes de génération précédente utilisés jusqu’alors par DreamWorks Animation, les films d’animation se rapprochent de plus en plus de la réalité ».
Le matériel de HP basé sur le processeur AMD a permis aux artistes de travailler sur plusieurs plans à la fois, en temps réel, et d’affiner leur vision artistique.
Plus de 20 millions d’heures de rendu ont ainsi été nécessaires à la réalisation de cet épisode.
« AMD et HP ont su se mettre au diapason de la communauté artistique », se réjouit Jeffrey Katzenberg, co-fondateur et PDG de DreamWorks Animation SKG. « Ils ont su non seulement répondre mais également anticiper les besoins technologiques essentiels au travail d’animation ».
« Shrek le Troisième » : toujours plus de technologie pour une qualité d’image et un rendu exceptionnels
Grâce à la performance accrue de la technologie AMD, les artistes on pu créer et ajouter de la finition à des visuels riches en détails, ce qui n’était pas envisageable dans le passé. « Les personnages ont des expressions plus réalistes, qui illustrent tout un éventail d’émotions » confie Stephen di Franco. « Par exemple, des rides subtiles apparaissent sur le nez des personnages, chose encore impossible à l’époque où nous réalisions les deux premiers Shrek ! ».
L’équipe artistique de Shrek III a pu rendre « réels » la chevelure de Fiona ainsi que l’abondante pilosité de Merlin. « L’effet était si élaboré et si époustouflant que les réalisateurs ont pensé que le personnage de Merlin était trop moderne. Ils ont alors retravaillé la séquence pour la rendre plus médiévale et éthérée », souligne Jeffrey Katzenberg. « De même pour les vêtements : nous avons réussi, grâce aux technologies de pointes mises à notre disposition par AMD et HP, à mettre en forme les costumes, leur donner davantage de mouvement et de flottement. Les vêtements du Moyen-Age étaient en tissu ‘lourd’ et présentaient des plis volumineux, ce qui représentait un défi de plus à relever pour l’équipe créatrice ! »
D’autres effets qui dépassent l’imagination ont été admirablement intégrés dans cette animation. Les tours de magie, les flammes brûlantes du dragon, les eaux tranquilles et les fluides répugnants qui réjouissent tant les enfants ont pu être réalisés en une fraction de temps, jadis beaucoup plus important lorsqu’il s’agissait de telles opérations.
« Nous avons essayé au travers de cet épisode de créer un monde fantastique crédible, indique l’un des chefs décorateurs. Ainsi, lorsque vous vous promenez dans la forêt de « Shrek », vous avez l’impression de toucher de la main les arbres ou l’herbe. Vous les sentez réellement sous vos doigts ! »
Les Studios Halo Collaboration de HP : un environnement collaboratif, au-delà des frontières
Les équipes de réalisation de DreamWorks réparties dans le monde entier ont eu l’occasion de partager leurs talents et leur savoir-faire au sein d’un même espace virtuel: les studios « Halo Collaboration » créés par HP. Principal avantage : concentrer la connaissance et le talent au sein d’un environnement commun.
« DreamWorks a fait appel aux studios HP « Halo Collaboration » afin de mettre en relation directe les équipes de Glendale et Redwood City basées en Californie, et les membres de l’équipe internationale », ajoute Shane Robinson, Vice-président et directeur de la stratégie et de la technologie chez HP. « Cette étroite collaboration a permis de réviser en temps réel tous les personnages créés sur ordinateur, et créer et éditer des scènes animées en 3D. Les ordinateurs portables HP nx6125 basés sur la technologie mobile double-cœur AMD Turion™ 64 X2 ont permis de réaliser ce travail de réalisation. Le réseau privé « Halo Video Exchange Network » (HVEN), mis en place spécialement pour ce film d’animation, a permis à l’équipe de répondre aux exigences video les plus poussées, en un temps record, tout en minimisant les coûts de déplacement des équipes ».
Shrek III, du grand art sur le grand comme sur le petit écran !
Le grand public peut exploiter la même puissance de traitement que celle utilisée par les animateurs de Shrek, pour créer, à la maison, le monde trépidant de « Shrek le Troisième ». Ceci, grâce aux systèmes basés sur les processeurs double-cœur AMD Athlon™ 64 X2 et aux ordinateurs portables basés sur la technologie mobile double-cœur AMD Turion™ 64 X2.
« Tous les détails ajoutés au troisième opus Shrek offre au spectateur une expérience visuelle hors du commun. Cet épisode a été une formidable occasion de renforcer notre partenariat avec HP et DreamWorks. Le monde du divertissement numérique est un environnement magique dans lequel nous avons pu faire évoluer notre technologie. Nous sommes fiers d’avoir pu accompagner DreamWorks dans cette nouvelle aventure » souligne Jérôme Carpentier, President-Directeur Général d’AMD France. « Le grand public a lui aussi la possibilité d’enrichir son expérience numérique en utilisant notre technologie double-cœur via la plateforme AMD LIVE!. Celle-ci lui permet de créer et produire des contenus audio et vidéo d’une qualité exceptionnelle, ou encore de télécharger et retoucher des photos sur un PC. Il peut également graver des CDs tout en visionnant en parallèle des vidéos ou en écoutant de la musique à la maison ».
En Coulisses…
· « Shrek le Troisième » a fait l’objet de 37 séquences et 1320 plans
· Plus de 130 000 images ont été créées pour porter « Shrek le Troisième » à l’écran
· 2500 costumes sont apparus au montage final
· Environ 4 378 hommes et femmes ont constitué la bibliothèque de personnages génériques permettant pour les animateurs de créer la foule
· Environ 20 000 semaines-personne, soit un million d’heures-personne sont nécessaires pour animer un film entier
· La quantité des costumes correspond à peu près à 10 fois celle créée pour le premier film Shrek
· 82 environnements différents ont été créés pour « Shrek le Troisième ». Seulement 15 d’entre eux ont été repris des films précédents. 67 environnements ont donc été créés pour cet épisode (ex : les quais de Fort Fort Lointain, l’école de Worcestershire…)
· 23 créatures de conte de fées/fantastiques clés ont fait leur apparition dans cet épisode (ex : Blanche-neige, Pinocchio, Capitaine Crochet…)
· Une bibliothèque d’animation a été construite, pour abriter une collection de démarches, de courses, de poses faciales, de pose des mains, et ce pour les personnages principaux
· Tout comme le flottement des vêtements, les cheveux longs et ondoyants des princesses ont représenté l’un des plus grands défis auxquels l’équipe de Shrek a été confrontée !
Tout le monde n’est pas fait pour être roi, en particulier lorsque l’on est un ogre obstiné, qui empeste l’égout. Shrek n’avait pas épousé Fiona pour devenir roi de Fort Fort Lointain. Mais c’est pourtant ce qui lui pend au nez….
La petite histoire pour enfants de William Steig est devenue l’un des films les plus couronnés de l’histoire du divertissement. Avec un premier prix « Academy Award® » décerné en 2002 pour le meilleur film d’animation, l’équipe de Shrek choisit de poursuivre l’aventure. La version 2 enregistre ainsi deux ans plus tard le plus grand nombre d’entrées sur cinq jours de tous les temps.
« Lorsque nous avons commencé à travailler sur le film d’animation Shrek 3, nous avons immédiatement pensé : que peut-on améliorer dans ce prochain épisode ? Quels instruments et techniques souhaitons-nous améliorer ? », confie Lucia Modesto, la directrice technique des personnages. « L’un des atouts majeurs de ce film d’animation réside dans ses personnages uniques et attachants » poursuit-elle. « Lorsque nous avons abordé « Shrek le troisième », nous avons longuement réfléchi aux « personnages hérités ». Shrek, Fiona, l’âne et le dragon ont plusieurs années d’existence, nous ne pouvions les traiter comme des personnages nouveaux, il était essentiel de prendre en compte les progrès techniques accomplis, et d’affiner le rendu des personnages, depuis l’énorme Shrek jusqu’aux minuscules souris aveugles ».
Le dernier opus de « Shrek » exigera ainsi pas moins de 350 personnes, 1320 plans et plus de 130 000 images. « Les progrès considérables accomplis ces dernières années au travers notamment des films d’animation « Madagascar » et « Nos Voisins les Hommes », nous ont permis d’aboutir à ce fabuleux travail de réalisation, confie Stephen di Franco, Corporate Vice President, Global Consumer Channel Sales and Marketing chez AMD. L’amélioration constante de la technologie AMD couplée à celle de HP, a permis à DreamWorks de relever un défi majeur, celui de réaliser plus d’un film d’animation par an ! »
Shrek : fruit d’un partenariat technologique unique entre DreamWorks,
AMD et HP
Créée en 1994 par Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg (ancien responsable de Walt Disney Feature Animation) et David Geffen (le fondateur de Geffen Records), DreamWorks SKG est la société de production et de distribution américaine de renommée mondiale dans le domaine du cinéma, de la musique et des programmes télévisés. La société a installé ses studios à Glendale, juste à côté des studios ABC à Los Angeles, et du campus de Walt Disney Imagineering.
Afin d’étonner davantage le spectateur et repousser une fois de plus les limites de la création, l’équipe artistique de DreamWorks a fait appel à la technologie HP (Serveurs HP ProLiant DL145 et stations de travail HPxw 9300) animée par les processeurs double-cœur AMD Opteron™ pour réaliser Shrek le Troisième.
« L’équipe artistique cherchait à affiner et à enrichir considérablement le rendu des personnages et le traitement simultané des accessoires et des environnements, un vrai travail d’orfèvre », souligne Stephen di Franco. « Grâce à une puissance de calcul supérieure à celle fournie par les systèmes de génération précédente utilisés jusqu’alors par DreamWorks Animation, les films d’animation se rapprochent de plus en plus de la réalité ».
Le matériel de HP basé sur le processeur AMD a permis aux artistes de travailler sur plusieurs plans à la fois, en temps réel, et d’affiner leur vision artistique.
Plus de 20 millions d’heures de rendu ont ainsi été nécessaires à la réalisation de cet épisode.
« AMD et HP ont su se mettre au diapason de la communauté artistique », se réjouit Jeffrey Katzenberg, co-fondateur et PDG de DreamWorks Animation SKG. « Ils ont su non seulement répondre mais également anticiper les besoins technologiques essentiels au travail d’animation ».
« Shrek le Troisième » : toujours plus de technologie pour une qualité d’image et un rendu exceptionnels
Grâce à la performance accrue de la technologie AMD, les artistes on pu créer et ajouter de la finition à des visuels riches en détails, ce qui n’était pas envisageable dans le passé. « Les personnages ont des expressions plus réalistes, qui illustrent tout un éventail d’émotions » confie Stephen di Franco. « Par exemple, des rides subtiles apparaissent sur le nez des personnages, chose encore impossible à l’époque où nous réalisions les deux premiers Shrek ! ».
L’équipe artistique de Shrek III a pu rendre « réels » la chevelure de Fiona ainsi que l’abondante pilosité de Merlin. « L’effet était si élaboré et si époustouflant que les réalisateurs ont pensé que le personnage de Merlin était trop moderne. Ils ont alors retravaillé la séquence pour la rendre plus médiévale et éthérée », souligne Jeffrey Katzenberg. « De même pour les vêtements : nous avons réussi, grâce aux technologies de pointes mises à notre disposition par AMD et HP, à mettre en forme les costumes, leur donner davantage de mouvement et de flottement. Les vêtements du Moyen-Age étaient en tissu ‘lourd’ et présentaient des plis volumineux, ce qui représentait un défi de plus à relever pour l’équipe créatrice ! »
D’autres effets qui dépassent l’imagination ont été admirablement intégrés dans cette animation. Les tours de magie, les flammes brûlantes du dragon, les eaux tranquilles et les fluides répugnants qui réjouissent tant les enfants ont pu être réalisés en une fraction de temps, jadis beaucoup plus important lorsqu’il s’agissait de telles opérations.
« Nous avons essayé au travers de cet épisode de créer un monde fantastique crédible, indique l’un des chefs décorateurs. Ainsi, lorsque vous vous promenez dans la forêt de « Shrek », vous avez l’impression de toucher de la main les arbres ou l’herbe. Vous les sentez réellement sous vos doigts ! »
Les Studios Halo Collaboration de HP : un environnement collaboratif, au-delà des frontières
Les équipes de réalisation de DreamWorks réparties dans le monde entier ont eu l’occasion de partager leurs talents et leur savoir-faire au sein d’un même espace virtuel: les studios « Halo Collaboration » créés par HP. Principal avantage : concentrer la connaissance et le talent au sein d’un environnement commun.
« DreamWorks a fait appel aux studios HP « Halo Collaboration » afin de mettre en relation directe les équipes de Glendale et Redwood City basées en Californie, et les membres de l’équipe internationale », ajoute Shane Robinson, Vice-président et directeur de la stratégie et de la technologie chez HP. « Cette étroite collaboration a permis de réviser en temps réel tous les personnages créés sur ordinateur, et créer et éditer des scènes animées en 3D. Les ordinateurs portables HP nx6125 basés sur la technologie mobile double-cœur AMD Turion™ 64 X2 ont permis de réaliser ce travail de réalisation. Le réseau privé « Halo Video Exchange Network » (HVEN), mis en place spécialement pour ce film d’animation, a permis à l’équipe de répondre aux exigences video les plus poussées, en un temps record, tout en minimisant les coûts de déplacement des équipes ».
Shrek III, du grand art sur le grand comme sur le petit écran !
Le grand public peut exploiter la même puissance de traitement que celle utilisée par les animateurs de Shrek, pour créer, à la maison, le monde trépidant de « Shrek le Troisième ». Ceci, grâce aux systèmes basés sur les processeurs double-cœur AMD Athlon™ 64 X2 et aux ordinateurs portables basés sur la technologie mobile double-cœur AMD Turion™ 64 X2.
« Tous les détails ajoutés au troisième opus Shrek offre au spectateur une expérience visuelle hors du commun. Cet épisode a été une formidable occasion de renforcer notre partenariat avec HP et DreamWorks. Le monde du divertissement numérique est un environnement magique dans lequel nous avons pu faire évoluer notre technologie. Nous sommes fiers d’avoir pu accompagner DreamWorks dans cette nouvelle aventure » souligne Jérôme Carpentier, President-Directeur Général d’AMD France. « Le grand public a lui aussi la possibilité d’enrichir son expérience numérique en utilisant notre technologie double-cœur via la plateforme AMD LIVE!. Celle-ci lui permet de créer et produire des contenus audio et vidéo d’une qualité exceptionnelle, ou encore de télécharger et retoucher des photos sur un PC. Il peut également graver des CDs tout en visionnant en parallèle des vidéos ou en écoutant de la musique à la maison ».
En Coulisses…
· « Shrek le Troisième » a fait l’objet de 37 séquences et 1320 plans
· Plus de 130 000 images ont été créées pour porter « Shrek le Troisième » à l’écran
· 2500 costumes sont apparus au montage final
· Environ 4 378 hommes et femmes ont constitué la bibliothèque de personnages génériques permettant pour les animateurs de créer la foule
· Environ 20 000 semaines-personne, soit un million d’heures-personne sont nécessaires pour animer un film entier
· La quantité des costumes correspond à peu près à 10 fois celle créée pour le premier film Shrek
· 82 environnements différents ont été créés pour « Shrek le Troisième ». Seulement 15 d’entre eux ont été repris des films précédents. 67 environnements ont donc été créés pour cet épisode (ex : les quais de Fort Fort Lointain, l’école de Worcestershire…)
· 23 créatures de conte de fées/fantastiques clés ont fait leur apparition dans cet épisode (ex : Blanche-neige, Pinocchio, Capitaine Crochet…)
· Une bibliothèque d’animation a été construite, pour abriter une collection de démarches, de courses, de poses faciales, de pose des mains, et ce pour les personnages principaux
· Tout comme le flottement des vêtements, les cheveux longs et ondoyants des princesses ont représenté l’un des plus grands défis auxquels l’équipe de Shrek a été confrontée !