Publié le 08/03/2016 Dans Microsoft
Le texte suivant est issu d'un communiqué de presse et ne reflète en rien l'opinion de la rédaction.
Zaventem, le 8 mars 2016
Ces dernières semaines, différentes personnes ont été contactées par e-mail ou par téléphone par des fraudeurs qui les invitaient, au nom de Microsoft, à payer leur mise à niveau vers Windows 10 via une Paysafecard. Si l’utilisateur donne suite favorable à cette demande et transmet des données personnelles, les cybercriminels vident son compte en banque et font crasher son ordinateur.
Microsoft souligne une fois encore que l’offre de mise à niveau gratuite vers Windows 10 est encore valable jusqu’au 28 juillet 2016 inclus pour les utilisateurs de Windows 7 et Windows 8.1. Il est possible de la demander par les canaux officiels de Microsoft. Pour tout complément d’information sur la mise à niveau vers Windows 10, veuillez suivre ce lien.
Comment réagir si vous êtes contacté par e-mail ou par téléphone ?
Microsoft conseille fortement les personnes contactées à ne pas donner suite à ces demandes. « Nous savons que des escrocs s’attachent à soutirer de l’argent des utilisateurs en les incitant à payer pour une mise à niveau vers Windows 10. Lorsque les destinataires ne répondent pas aux premières tentatives, les escrocs passent à la vitesse supérieure et menacent de mandater un huissier de justice. De cette manière, ils espèrent inspirer de la crainte afin que les victimes finissent par transmettre leur données », constate Karel Dekyvere, Security Lead chez Microsoft BeLux.
Quelques conseils pour faire face aux fraudes et hameçonnages
Microsoft dispense les 5 astuces suivantes pour vous aider à vous protéger de tout abus ou tentative de hameçonnage.
1. Ne jamais donner foi ni suite à des appels téléphoniques non souhaités.
2. Protégez-vous des courriers électroniques de hameçonnage ou frauduleux.
Ne réagissez jamais à des e-mails ou des appels téléphoniques où l’on vous demande des données personnelles ou de l’argent. Ne cliquez jamais sur un lien ou n’ouvrez jamais une annexe d’un e-mail suspect. Si l’e-mail a été envoyé par une entreprise, contactez-la pour vérifier qu’il vient effectivement de celle-ci.
3. Sachez détecter un courrier électronique de hameçonnage ou frauduleux
Ils sont souvent reconnaissables : une offre trop généreuse accompagnée d’une demande de données personnelles ou de compte bancaire, beaucoup de fautes de syntaxe et un nom de domaine étranger.
4. Notifiez toute tentative d’escroquerie.
Bloquez les spammers et notifiez tout abus via Outlook.com. Les utilisateurs peuvent signaler des e-mails de hameçonnage en suivant ce lien. N’informez la police que si vous avez subi un préjudice. Autrement, elle ne pourra rien entreprendre.
5. Sécurisez votre ordinateur.
Pour une information plus détaillée sur les 5 astuces, veuillez consulter un blogpost récent de Microsoft.
Que faire si votre ordinateur a été sous le contrôle d’escrocs ?
Si vous avez déjà donné accès à votre ordinateur, déconnectez immédiatement l’ordinateur de l’internet et effectuez un scan complet avec un antivirus récent et mis à jour, et éliminez le logiciel malveillant. Si nécessaire, vous pouvez aussi faire réinstaller votre ordinateur. Modifiez aussi tous les mots de passe tant de l’ordinateur que des comptes internet (boîte aux lettres, Facebook, Twitter...). N’oubliez pas de modifier les questions de sécurité que vous recevez quand vous oubliez le mot de passe de ces comptes.
Que faire en cas de préjudice ?
Si vous avez payé les fraudeurs, il convient de déposer le plus rapidement possible une plainte auprès de la police locale et de contacter la hotline de paysafecard. Si le crédit de la carte n’est pas encore épuisé par les escrocs, il est peut-être encore possible de la bloquer.
Si vous avez subi un préjudice à l’occasion d’une fraude de ce type, vous pouvez déposer plainte pour piratage et sabotage de votre ordinateur auprès de la police locale. Rassemblez toutes les données qui peuvent attester les faits et les dommages subis. Consignez toutes les données que vous avez reçues des escrocs, comme les numéros de téléphone, les noms et adresses de site web, et remettez-les à la police.
Ces dernières semaines, différentes personnes ont été contactées par e-mail ou par téléphone par des fraudeurs qui les invitaient, au nom de Microsoft, à payer leur mise à niveau vers Windows 10 via une Paysafecard. Si l’utilisateur donne suite favorable à cette demande et transmet des données personnelles, les cybercriminels vident son compte en banque et font crasher son ordinateur.
Microsoft souligne une fois encore que l’offre de mise à niveau gratuite vers Windows 10 est encore valable jusqu’au 28 juillet 2016 inclus pour les utilisateurs de Windows 7 et Windows 8.1. Il est possible de la demander par les canaux officiels de Microsoft. Pour tout complément d’information sur la mise à niveau vers Windows 10, veuillez suivre ce lien.
Comment réagir si vous êtes contacté par e-mail ou par téléphone ?
Microsoft conseille fortement les personnes contactées à ne pas donner suite à ces demandes. « Nous savons que des escrocs s’attachent à soutirer de l’argent des utilisateurs en les incitant à payer pour une mise à niveau vers Windows 10. Lorsque les destinataires ne répondent pas aux premières tentatives, les escrocs passent à la vitesse supérieure et menacent de mandater un huissier de justice. De cette manière, ils espèrent inspirer de la crainte afin que les victimes finissent par transmettre leur données », constate Karel Dekyvere, Security Lead chez Microsoft BeLux.
Quelques conseils pour faire face aux fraudes et hameçonnages
Microsoft dispense les 5 astuces suivantes pour vous aider à vous protéger de tout abus ou tentative de hameçonnage.
1. Ne jamais donner foi ni suite à des appels téléphoniques non souhaités.
2. Protégez-vous des courriers électroniques de hameçonnage ou frauduleux.
Ne réagissez jamais à des e-mails ou des appels téléphoniques où l’on vous demande des données personnelles ou de l’argent. Ne cliquez jamais sur un lien ou n’ouvrez jamais une annexe d’un e-mail suspect. Si l’e-mail a été envoyé par une entreprise, contactez-la pour vérifier qu’il vient effectivement de celle-ci.
3. Sachez détecter un courrier électronique de hameçonnage ou frauduleux
Ils sont souvent reconnaissables : une offre trop généreuse accompagnée d’une demande de données personnelles ou de compte bancaire, beaucoup de fautes de syntaxe et un nom de domaine étranger.
4. Notifiez toute tentative d’escroquerie.
Bloquez les spammers et notifiez tout abus via Outlook.com. Les utilisateurs peuvent signaler des e-mails de hameçonnage en suivant ce lien. N’informez la police que si vous avez subi un préjudice. Autrement, elle ne pourra rien entreprendre.
5. Sécurisez votre ordinateur.
Pour une information plus détaillée sur les 5 astuces, veuillez consulter un blogpost récent de Microsoft.
Que faire si votre ordinateur a été sous le contrôle d’escrocs ?
Si vous avez déjà donné accès à votre ordinateur, déconnectez immédiatement l’ordinateur de l’internet et effectuez un scan complet avec un antivirus récent et mis à jour, et éliminez le logiciel malveillant. Si nécessaire, vous pouvez aussi faire réinstaller votre ordinateur. Modifiez aussi tous les mots de passe tant de l’ordinateur que des comptes internet (boîte aux lettres, Facebook, Twitter...). N’oubliez pas de modifier les questions de sécurité que vous recevez quand vous oubliez le mot de passe de ces comptes.
Que faire en cas de préjudice ?
Si vous avez payé les fraudeurs, il convient de déposer le plus rapidement possible une plainte auprès de la police locale et de contacter la hotline de paysafecard. Si le crédit de la carte n’est pas encore épuisé par les escrocs, il est peut-être encore possible de la bloquer.
Si vous avez subi un préjudice à l’occasion d’une fraude de ce type, vous pouvez déposer plainte pour piratage et sabotage de votre ordinateur auprès de la police locale. Rassemblez toutes les données qui peuvent attester les faits et les dommages subis. Consignez toutes les données que vous avez reçues des escrocs, comme les numéros de téléphone, les noms et adresses de site web, et remettez-les à la police.