Ah, les vieux périphériques qui ont envie d'une dernière minute de gloire, le grenier semble en être rempli, cette fois-ci, je vous ai déniché un trackball, un rescapé d'une période plus propice à ce type de périphérique.



Et zou, pas de pitié, on ouvre le trackball, quelques petits coups de bistouri et le voila le ventre à l'air, sa boule et ses composants en pleine lumière, quelle boucherie!

Bon, trève de plaisanterie, voici un gros plan sur le mécanisme derrière les boutons et la boule.



En retirant la boule, on distingue mieux les 3 roulettes sur lesquelles la boule tourne pour permettre de définir le mouvement du pointeur. Le troisième roulement, en haut sur la photo, est un roulement non utilisé, c'est juste pour permettre de soutenir la boule mais seuls les 2 roulements en noir sont utiles pour la définition du mouvement vu qu'il ne faut définir qu'un déplacement vertical et un horizontal.



Et les boutons dans tout cela? Oui, c'est vrai, un trackball, cela a aussi des boutons, trois boutons ici en l'occurrence. Le bouton n'est qu'un simple plastique souple avec une pointe (cfr images page précédente), qui, lorsqu'on les enfonce, font pression sur les petits contacts gris. On voit ici le contact du bouton gauche en avant plant, à gauche de la vis.



Et voici encore un mystère de résolu, un trackball vous a montré ses entrailles pour satisfaire votre curiosité! Rendez-vous au prochain article pour de nouvelles aventures!