L' application Apple TV n'est plus nécessaire pour s'abonner à Apple TV+ et regarder celui-ci. Le service de streaming vidéo de Cupertino est désormais disponible dans l' application Prime Video , grâce à laquelle vous pouvez vous inscrire et regarder tout type de contenu. Répétons-le pour éviter tout malentendu : les clients Prime Video qui souhaitent regarder Apple TV+ peuvent s'abonner au service directement depuis l'application Prime Video, au prix de 9,99 € par mois . En d’autres termes : Apple TV+ n’est pas inclus dans un abonnement Prime (Vidéo). En souscrivant ainsi à Apple TV+, nous aurons accès à l'intégralité du catalogue du service, comme si nous nous étions abonnés directement auprès d'Apple. Split, The Morning Show, Slow Horses, Ted Lasso et d'autres séries télévisées et films sont tous présents, en plus des événements sportifs de la Major League Soccer et de la Major League Baseball . La possibilité de regarder Apple TV+ via l'application Prime Video était déjà arrivée aux États-Unis en octobre 2024, et elle était apparemment très populaire auprès des téléspectateurs aux États-Unis.

À partir d’aujourd’hui, cette option est également disponible en Italie , en Allemagne et en Espagne, les premiers pays européens à disposer de cette commodité. Prime Video propose en effet depuis longtemps une large gamme de chaînes et d'options d'abonnement supplémentaires associées , notamment Infinity Selection , Paramount+ , MGM+ , Discovery+ Entertainment et d'autres, en plus des titres inclus dans le catalogue Prime Video et de ceux qui peuvent être loués ou achetés, faisant du service d'Amazon l'un des plus hétérogènes du marché. La commodité d'avoir une seule application n'est en effet pas à sous-estimer, tant du point de vue des abonnements que du visionnage, et l'application Prime Video est également disponible sur pratiquement tous les appareils. Peut-être que la concurrence devrait apprendre, même si nous doutons qu’elle le fasse .

Netflix prévoit de dépenser environ 18 milliards de dollars en espèces pour le contenu en 2025 – et la société voit de nombreuses possibilités d’expansion dans les années à venir, selon le directeur financier de Netflix, Spencer Neumann. « Nous ne sommes pas près d’atteindre un plafond » en ce qui concerne les dépenses de contenu, a déclaré Neumann, s’exprimant mercredi lors de la conférence Morgan Stanley Tech, Media & Telecom 2025. En tant qu’entreprise mondiale de divertissement, a-t-il déclaré, « je pense que nous ne faisons que commencer ». Les 18 milliards de dollars de dépenses en espèces pour le contenu prévus pour cette année seraient en hausse d’environ 11 % par rapport aux 16,2 milliards de dollars de 2024. Interrogé sur la manière dont Netflix prévoit les dépenses de contenu, Neumann a déclaré que « c’est un peu un art et un peu une science ». Cela commence par les revenus anticipés, sur lesquels l’entreprise a « une assez bonne prévisibilité », a-t-il déclaré, puis Netflix examine les dépenses de contenu dans le contexte de la réalisation des objectifs de marge.

Netflix a terminé l'année 2024 avec 301,6 millions d'abonnés payants dans le monde, accélérant sa croissance à partir de 2023. Cela se traduit par plus de 700 millions de personnes qui regardent le contenu Netflix, a déclaré Neumann. Cependant, « nous sommes encore petits sur chaque mesure clé » dans le secteur plus large du divertissement. Netflix est présent dans environ 40 % des foyers connectés à la télévision dans le monde et a conquis 6 % de son marché adressable, a déclaré le directeur financier. Et, aux États-Unis et dans d'autres pays, Netflix représente toujours moins de 10 % du total des téléspectateurs. « Nous voyons des opportunités de croissance partout », a déclaré Neumann. « Il s'agit plutôt de savoir où se trouve la plus grande opportunité de croissance et de dépenses… Nous voulons rester en mode croissance plutôt qu'en mode maintenance aussi longtemps que possible. » L'objectif de Netflix est de proposer « toujours plus de divertissement par dollar investi », a-t-il déclaré. L'entreprise s'efforce également de continuer à améliorer l'expérience globale « car la concurrence s'améliore également », a déclaré Neumann.

YouTube étend Premium Lite , la version la plus abordable de son abonnement Premium, qui vous permet de regarder la plupart des vidéos sans publicité pour 7,99 $ par mois. Le service est en phase de test depuis des années, pas toujours avec des résultats positifs , mais dans une annonce quelque peu surprenante, YouTube a rendu Premium Lite disponible aux États-Unis et a confirmé que l'abonnement sera étendu dans les semaines à venir aux pays pilotes actuels de Thaïlande, d'Allemagne et d'Australie . Etant donné l'importance du marché américain, il s'agit d'une véritable consécration pour YouTube Premium Lite, qui intervient dans un contexte de croissance pour YouTube Music et Premium , qui ont dépassé les 125 millions d'abonnés dans le monde (versions d'essai comprises).

Premium Lite a un objectif principal : supprimer les publicités des vidéos , du moins de la plupart des vidéos (voir ci-dessous). Cependant, par rapport à l' abonnement YouTube Premium traditionnel , il présente certaines limitations :

- N'inclut pas YouTube Music (la version sans publicité, jouée en arrière-plan).
- Ne permet pas aux vidéos YouTube de jouer en arrière-plan .
- Ne permet pas de télécharger des vidéos pour une visualisation hors ligne.
- Certaines vidéos contiennent cependant de la publicité (« la plupart des vidéos sont sans publicité, qu'il s'agisse de jeux, de comédie, de cuisine ou d'apprentissage »)

Après tout, il s’agit de limitations raisonnables qui offrent à l’utilisateur un plus grand choix. Ceux qui recherchent une expérience plus complète avec de la musique ininterrompue, une lecture en arrière-plan et un mode hors ligne devront toujours opter pour YouTube Premium dans sa version complète, tandis que ceux qui sont plus intéressés par le côté musical ont l'option YouTube Music. Cette stratégie s’inscrit dans une tendance plus large, dans laquelle les plateformes numériques cherchent à monétiser leurs services avec des formules d’abonnement différenciées, plutôt que de s’appuyer exclusivement sur la publicité. YouTube génère des revenus principalement grâce à la publicité , mais les abonnements deviennent une source de revenus de plus en plus importante pour la plateforme. Avec une alternative moins chère, davantage de personnes pourraient choisir de payer pour supprimer les publicités , augmentant ainsi les revenus d’abonnement. C'est en quelque sorte le contraire de ce qu'a fait Netflix , qui au départ n'avait pas de plan publicitaire et qui maintenant se concentre fortement sur celui-ci .

YouTube n'a pas encore annoncé le lancement mondial de Premium Lite, mais son arrivée aux États-Unis est certainement une étape majeure, bien plus grande que toutes celles qu'il a franchies jusqu'à présent. Si l’expérience est concluante, elle sera probablement étendue à d’autres marchés. De son côté, YouTube continue d'expérimenter de nouvelles formules pour offrir plus de choix aux utilisateurs , en équilibrant publicité et abonnements. Il reste à voir si Premium Lite deviendra une solution populaire ou si la plupart des utilisateurs continueront de préférer la version gratuite avec des publicités. De plus, la surabondance des abonnements numériques est un problème auquel YouTube n’est pas le seul à devoir faire face, même s’il y est impliqué.

Les publicités sur YouTube sont sur le point de devenir un peu moins ennuyeuses, car le géant du streaming a annoncé des changements dans ses publicités mid-roll pour améliorer l'expérience utilisateur (et générer plus de revenus pour les créateurs et lui-même). Nous détestons tous les publicités sur YouTube (du moins ceux d'entre nous qui ne sont pas abonnés à YouTube Premium ), mais celles qui apparaissent au milieu de phrases ou de séquences d'action sont particulièrement ennuyeuses. Ces publicités mid-roll , au sein de la vidéo et non au début ou à la fin, sont dites « interruptives », car elles interrompent le flux de la vidéo et génèrent en fait moins de revenus. Les créateurs de contenu ont en fait trois options pour choisir où placer les coupures publicitaires : automatiquement, en laissant le système choisir, manuellement , ou une combinaison des deux. Les pauses automatiques sont en fait la « meilleure » solution, car YouTube essaie de les placer pendant des pauses ou des transitions naturelles , et maintenant elles s’améliorent encore . La raison est simple : Google a découvert lors d’une expérience l’année dernière qu’un mélange d’interruptions manuelles et automatiques générait 5 % de revenus supplémentaires par rapport aux interruptions manuelles seules.

D’où la décision : ceux qui utiliseront les interruptions manuelles après le 12 mai 2025 risqueront de gagner beaucoup moins . YouTube a annoncé quelques modifications aux publicités mid-roll qui aideront les créateurs, même pour les vidéos plus anciennes. Ceux qui utilisent des publicités insérées automatiquement n’auront aucun problème. Ceux qui utilisent des pauses placées manuellement devront vérifier dans YouTube Studio qu'elles ne sont pas marquées comme interruptives : dans l'outil spécialement implémenté, elles seront surlignées en rouge et avec un avertissement, comme vous pouvez le voir ci-dessous. Si les pauses automatiques sont activées, YouTube les ajoutera là où il pense qu'elles fonctionnent le mieux, mais il ne supprimera pas les pauses manuelles, le créateur doit donc toujours vérifier. Les créateurs peuvent choisir d'activer ou non l'outil de commentaires de YouTube, tandis que les vidéos plus anciennes (celles téléchargées avant le 24 février 2024) auront la possibilité d'activer ou de désactiver le placement automatique des annonces via l' onglet Gagner dans YouTube Studio.

Mais devront-ils vérifier toutes les vidéos téléchargées ? Cela semble être beaucoup de travail. À long terme, cela devrait signifier moins de publicités ennuyeuses pour les utilisateurs , mais à première vue, il semble que la vidéo où les publicités insérées manuellement (jugées interruptives) ne sont pas supprimées et les interruptions automatiques sont activées offrira finalement encore plus de publicités : est-ce possible ? Google précise que les publicités automatiques ne seront ajoutées qu'aux vidéos avec des emplacements publicitaires définis manuellement et non à celles qui n'en ont pas, mais cela semble toujours être un risque. En théorie, les publicités mid-roll sont destinées aux vidéos de plus de huit minutes , et s'il y a trop de publicités ou si elles sont trop intrusives, l'outil de commentaires affichera une barre rouge , mais cela signifie toujours que le créateur devra examiner toutes les vidéos qu'il télécharge.

Conformément à une mise à jour de la page Contenu à la demande sur Twitch aujourd'hui, la filiale d'Amazon met en œuvre une limite de stockage de 100 heures pour les moments forts et les téléchargements à partir du 19 avril 2025. Voici ce que vous devez savoir :

- À compter du 19 avril 2025, tous les extraits et téléchargements, qu'ils soient publiés ou non, seront comptabilisés dans une limite de stockage unique de 100 heures. La limite de stockage s'applique à tous les extraits et téléchargements de votre chaîne, quelle que soit leur date de création.

- Cette limite NE S'APPLIQUE PAS au stockage des diffusions passées (VOD) ou des clips . Seuls les moments forts et/ou les téléchargements devront être supprimés pour respecter ce quota. Les clips et les diffusions passées (VOD) ne seront pas supprimés suite à cette mise à jour.

- Moins de 0,5 % des streamers actifs sur Twitch ont dépassé la limite de stockage de 100 heures aujourd'hui. Les chaînes qui ont actuellement dépassé la limite seront averties directement dans leur boîte de réception de notifications et sur la page du producteur vidéo d'ici la fin de la journée du 19 février 2025.

- Les chaînes qui dépassent toujours la limite de stockage après le 19 avril 2025 risquent de voir leurs temps forts et leurs téléchargements supprimés automatiquement, en commençant par les temps forts avec le moins de vues, jusqu'à ce qu'ils soient en dessous de la limite. Téléchargez ou exportez les temps forts et les téléchargements que vous souhaitez enregistrer avant de les supprimer.

- Twitch ne supprimera le contenu qu'une seule fois, à compter du 19 avril, jusqu'à ce que toutes les chaînes soient sous la limite de 100 heures pour les temps forts et les téléchargements. Une fois que toutes les chaînes seront sous la limite de 100 heures, aucun utilisateur ne pourra plus dépasser 100 heures de temps forts et de téléchargements à l'avenir.

- Les chaînes qui sont déjà en dessous de la limite ne pourront pas la dépasser d'ici le 19 avril afin de minimiser le risque de suppression de contenu de temps forts ou de téléchargements.

Pourquoi ce changement ? À l'origine, Highlights avait été lancé pour aider les streamers à créer des vidéos de leurs meilleurs moments afin d'attirer de nouveaux spectateurs sur Twitch. Cependant, Highlights n'a pas été très efficace pour favoriser la découverte ou l'engagement des spectateurs par rapport à des fonctionnalités telles que Clips, Tags et le flux de découverte mobile. De plus, le stockage de ce contenu est coûteux. L'introduction de cette limite de stockage de 100 heures, qui affecte moins de 0,5 % des chaînes actives sur Twitch et représente moins de 0,1 % des heures regardées, aidera à gérer les ressources plus efficacement.

Le nouveau plan YouTube Premium « Lite » que Google a testé avec certains utilisateurs en Australie, en Allemagne et en Thaïlande pourrait bientôt être lancé officiellement mais de manière limitée. Un nouveau rapport de Bloomberg révèle que Google prévoit de déployer bientôt le nouveau plan Lite dans les trois pays susmentionnés ainsi qu'aux États-Unis. « Dans le cadre de notre engagement à offrir à nos utilisateurs plus de choix et de flexibilité, nous avons testé une nouvelle offre YouTube Premium avec la plupart des vidéos sans publicité sur plusieurs de nos marchés », a déclaré un porte-parole de YouTube dans un communiqué partagé avec Bloomberg. « Nous espérons étendre cette offre à encore plus d'utilisateurs à l'avenir avec le soutien de nos partenaires. » Sur les marchés tests actuels, les abonnés à YouTube Premium Lite peuvent voir des publicités sur le contenu musical et les Shorts, ainsi que des publicités non interruptives lorsqu'ils recherchent et parcourent la plateforme vidéo. L'abonnement YouTube Premium régulier de 13,99 $/mois offre cependant une expérience totalement sans publicité et d'autres avantages, notamment la visualisation hors ligne, la lecture en arrière-plan sur mobile et YouTube Music Premium.

Apple a annoncé le lancement de l' application Apple TV pour Android (version 10 et ultérieures), permettant à tous les utilisateurs d'Android de s'abonner et de regarder Apple TV+ depuis n'importe quel appareil. L'application s'ouvre avec un aperçu du contenu d'Apple TV+, que vous pouvez regarder gratuitement pendant 7 jours. Nous avons ensuite un onglet dédié au MLS Season Pass , avec du contenu sportif de la Major League Soccer américaine. Et enfin, nous trouvons l'onglet avec les téléchargements , c'est-à-dire les programmes TV et les films téléchargés, et l'inévitable recherche , qui présente également quelques suggestions avec les contenus les plus populaires. Bien évidemment, toutes les fonctions classiques des services de streaming sont présentes, comme « Continuer à regarder », qui reprend le visionnage là où il s'est arrêté, et « Listes de surveillance », pour enregistrer vos contenus préférés pour les regarder plus tard. De plus, l'application permet évidemment le streaming sur les réseaux Wi-Fi et cellulaires. Les fans de « Split », « The Morning Show » et « Ted Lasso » auront désormais une autre façon de les regarder, même si heureusement l'application Android TV est disponible depuis un certain temps déjà. Vous pouvez télécharger celui pour smartphones et tablettes en utilisant le bouton ci-dessous.

Malgré une baisse du nombre d'abonnés à « seulement » 124,6 millions d'utilisateurs dans le monde, le service de streaming a réussi à devenir rentable pour la première fois. Il s’agit d’une étape importante pour le service de streaming, qui a nécessité des investissements importants depuis son lancement en novembre 2019. Le groupe de divertissement Disney a pu augmenter ses ventes et ses bénéfices globaux et a dépassé les attentes des analystes boursiers. Plusieurs facteurs pourraient être responsables de la perte d’abonnés. À l’automne 2024, Disney+ a introduit des mesures contre le partage de compte et a augmenté les prix. Le prix moyen d’un abonnement mondial a augmenté de 5 % pour atteindre 7,55 dollars. L’entreprise a également réduit ses dépenses en nouveaux contenus, ce qui a peut-être réduit l’attrait de l’offre. Le PDG de Disney, Bob Iger, s'est néanmoins montré confiant et a déclaré que la baisse était plus faible que prévu. Le groupe s'attend à de nouvelles baisses modérées du nombre d'abonnés pour l'année en cours. Alors que Disney+ est en difficulté, le leader du marché Netflix connaît une forte croissance. Le pionnier du streaming a gagné 19 millions de nouveaux abonnés au cours de la même période et a dépassé la barre des 300 millions d'utilisateurs. Netflix bénéficie de son vaste catalogue de contenus et de ses investissements importants dans de nouvelles productions.

Disney, quant à lui, se concentre sur la diversification. Le service de streaming du groupe Hulu a gagné 1,6 million de nouveaux abonnés et compte désormais 53,6 millions d'utilisateurs. En outre, le secteur du divertissement avec les parcs à thème et les bateaux de croisière a enregistré une hausse de ses ventes de trois pour cent à 9,42 milliards de dollars. Disney a ajusté sa stratégie et se concentre désormais davantage sur la rentabilité plutôt que sur la croissance pure. L'entreprise a réduit la production de séries et de films coûteux des univers Star Wars et Marvel. L’accent est plutôt mis sur le renforcement de l’offre globale. Pour l'ensemble de l'année 2025, Disney prévoit une croissance à deux chiffres du bénéfice d'exploitation pour sa division divertissement. La société prévoit d’investir environ 24 milliards de dollars dans de nouveaux contenus, dont une part importante sera consacrée aux droits sportifs.

Nous avons déjà tout vu : ralentissements , écrans noirs et blocage de la vision , mais désormais, ceux qui utilisent des adblocks sur YouTube pour ne pas voir les publicités risquent d'avoir l'effet inverse. Des heures de publicité continue à ne pas manquer ! Pour le savoir, certains utilisateurs de Reddit ont publié des captures d'écran d'écrans inquiétants, dans lesquelles on voit près de 58 minutes et bien plus de 2 heures et 52 minutes de publicité continue ! Cela ressemble à un bug, mais apparemment ce n'est pas le cas, l'entreprise elle-même le confirme . Et bien que les utilisateurs ne le déclarent pas, ce comportement est probablement dû à la présence d' adblock. Lorsqu'il a été contacté à ce sujet, YouTube a déclaré à Android Authority que « l'utilisation de bloqueurs de publicités viole les conditions d'utilisation de YouTube. Nous avons lancé un effort mondial pour inciter les téléspectateurs dont les bloqueurs de publicité sont activés à autoriser les publicités sur YouTube ou à essayer YouTube Premium pour une « publicité ». expérience gratuite . Normalement, vous devriez voir des publicités non désactivables de 15 secondes sur les mobiles et des publicités de 60 secondes sur les téléviseurs intelligents, mais il semble y avoir un problème ici.

De nombreux autres rapports sont apparus sur Reddit, en l'occurrence non étayés par des captures d'écran, affirmant avoir vu des publicités durant 10 et même 90 heures ! La déclaration de YouTube n'est pas claire, mais elle élimine tout de même la possibilité qu'il s'agisse d'un bug. La société insiste sur le fait que les publicités sont « une bouée de sauvetage vitale pour nos créateurs qui les aide à gérer et à développer leurs activités », arguant qu'elle n'envoie pas intentionnellement des publicités incontournables qui durent quelques minutes, et encore moins des heures. Mais cela pourrait s'appliquer aux utilisateurs normaux . De toute évidence, cet « effort mondial » vise précisément à attaquer ceux qui ne veulent pas voir de publicités sans payer un abonnement YouTube Premium .

Le Royaume-Uni envisage de faire payer la redevance BBC aux foyers qui n'utilisent que des services de streaming tels que Netflix et Disney, dans le cadre de plans visant à moderniser le mode de financement du radiodiffuseur de service public. L'extension de la redevance aux applications de streaming fait partie d'un menu d'options discutées par le bureau du Premier ministre Keir Starmer, le Trésor et le ministère de la Culture, des Médias et des Sports, selon des personnes proches du dossier qui ont demandé à ne pas être nommées pour discuter des délibérations internes du gouvernement. Les alternatives en cours de discussion incluent l'autorisation de la British Broadcasting Corp. d'utiliser la publicité, l'imposition d'une taxe spécifique sur les services de streaming et la demande à ceux qui écoutent la radio BBC de payer une redevance. Le gouvernement en est aux premières étapes de l'examen de la manière de remanier le financement du radiodiffuseur public britannique lorsque sa charte actuelle de 11 ans prendra fin le 31 décembre 2027. Les ministres cherchent soit à conserver et à modifier le modèle actuel de redevance télévisuelle, soit à le supprimer et à financer la BBC par le biais de modèles alternatifs tels que la taxation ou l'abonnement. En effet, les habitudes de visionnage ont changé à mesure que les utilisateurs gravitent vers les services à la demande.

Les discussions sont sensibles car la radio et la télévision nationales britanniques sont souvent considérées comme un vecteur essentiel de la puissance d'influence du pays dans le monde. Mais la BBC, qui s'est engagée à maintenir l'impartialité de sa production éditoriale, est également souvent critiquée pour son partialité, tant de la gauche que de la droite du spectre politique du pays. Les discussions gouvernementales restent préliminaires et rien n'a été décidé, ont déclaré les sources. Un porte-parole du DCMS a déclaré dans un communiqué qu'il ne ferait aucun commentaire sur les "spéculations", ajoutant : "nous fournirons plus de détails sur les plans de révision de la charte en temps voulu". La redevance remonte à 1946, lorsque les consommateurs regardaient des programmes au moment de la diffusion. Elle coûte actuellement aux ménages qui regardent la télévision en direct ou utilisent BBC iPlayer 169,50 £ (202.32€) par an, un montant qui augmente généralement chaque année avec l'inflation. Même s'ils ne regardent pas les programmes de la BBC, les ménages sont tenus de détenir une licence TV pour regarder ou diffuser des programmes en direct sur des sites tels que YouTube et Amazon Prime Video. Cependant, elle n'est pas nécessaire pour ceux qui ne regardent que du contenu à la demande, non BBC.

Parmi les autres options envisagées figurent l'imposition d'une taxe spécifique sur le streaming, la demande aux personnes qui écoutent la radio de la BBC de payer également la redevance, et la possibilité pour les utilisateurs de l'application à la demande de la BBC de payer un abonnement plutôt que la redevance, à l'image du modèle économique de services comme Netflix, Disney, Amazon Prime et Apple TV . Les ministres envisagent également de répartir la redevance de licence à plusieurs niveaux pour garantir que les ménages à faibles revenus ne paient pas le même tarif que les utilisateurs plus aisés.