Publié le 10/07/2006 Dans PlayStation 2
GTA 1990
Nous revoici donc dans la ville de Liberty City déjà visitée dans GTA III. En effet le jeu se déroule début 1990, avec un personnages nommé Tonny Cipriani. Cette version narre son ascension dans une ville qui est toujours aussi propre. Entre corruption, mafia, triades, gangs, GTA est noir, peut être plus cru que ses prédécesseurs d'ailleurs. Le gameplay n'a pas vraiment changé, pour le plus grands amateurs des fans, mais les nombreux bugs sont également toujours là .
Une ville importante.
Liberty City n'a pas fondamentalement changé par rapport à la ville rencontrée dans GTA III. Le jeu se déroulant quelques années auparavant, certaines modifications sont tout de même présentes. Cela donne lieu à un environnement très développé, et plutôt réaliste avec ses banlieues, terrains vagues, etc ... Mais comme dans chaque GTA, en début de partie seule une portion de la ville est disponible, surtout que les dockers sont en grève. Inutile d'essayer de tricher où de faire n'importe quoi, car le gameplay est basé sur GTA III je le rappelle.
Comme dans les précédents épisodes, en plus des missions standards, vous pourrez prendre un taxi, un véhicule de Police, une ambulance, le camion de pompiers, etc ... et déclencher des objectifs secondaires grâce au bouton Haut qui rapportent des Dollars. Évidemment la ville reste interactive. Vous pourrez détrousser les gens, entamer une course poursuite avec la Police. Sinon vous retrouvez évidemment certaines pseudo missions d'infiltrations qui dégénéreront vite une fois l'objet récupéré.
Tony peut modifier ses vêtements. Pour se changer il suffit d'aller dans son appartement et de passer sur l'icone bleu. C'est aussi chez lui que vous trouverez le disque pour sauvegarder sa progression.
GTA 3.3
Techniquement GTA LCS semble un peu plus beau que GTA III, même si certains bugs subsistent. Il n'empêche que le jeu propose un environnement assez riche et assez développé. Les cinématiques en 3D temps réel sont toujours très nombreuses et trahissent quelques lacunes techniques, mais le résultat a été revu à la hausse depuis GTA III justement, avec des textures qui semblent plus précises. Notons toutefois que le jeu n'a pas bougé d'un iota depuis sa sortie sur PSP.
Côté animation, certains ralentissements subsistent toujours mais ça reste globalement fluide. Il y a beaucoup de temps de chargements mais on fait avec surtout qu'ils se déclenchent rarement qu'on en visite les quartiers.
Quelques problèmes de caméra apparaissent également, ce qui ne nuit pas à la jouabilité d'ensemble. Jouabilité qui n'a pas fondamentalement bougé par rapport aux autres GTA, même en voiture, mais qui s'est enrichi de quelques fonctions. Cependant, cela reste un peu laborieux, mais bon, on a l'habitude maintenant. Ah oui notons que votre personnage se noit au moindre contact avec l'eau, ce qui n'est pas vraiment l'idéal.
La durée de vie est assez importante. Compter un minimum de 40h pour le finir. Et encore, vous aurez toujours envie d'aller déambuler dans les villes pour ne rien faire. Même si le jeu est moins ambitieux que San Andreas, il est à noter qu'il n'est disponible qu'à 30 €uros.
Les musiques enfin, sont disponibles une fois dans une voiture comme à l'accoutumée. Évidemment les radios ont été adaptés aux années 1990 et vous retrouvez quelques standards. Globalement le tout est de qualité, tout comme les doublages Américains et les différents bruitages du jeu.
VERDICT
GTA Liberty City Stories est une copie conforme de la version PSP, le multijoueur en moins. Si certains trouveront l'opération discutable, le jeu reste très complet et propose une aventure longue et captivante. Les fans ne se sentiront pas floués, surtout que son tarif de vente n'est que d'une trentaine d'€uros.
Nous revoici donc dans la ville de Liberty City déjà visitée dans GTA III. En effet le jeu se déroule début 1990, avec un personnages nommé Tonny Cipriani. Cette version narre son ascension dans une ville qui est toujours aussi propre. Entre corruption, mafia, triades, gangs, GTA est noir, peut être plus cru que ses prédécesseurs d'ailleurs. Le gameplay n'a pas vraiment changé, pour le plus grands amateurs des fans, mais les nombreux bugs sont également toujours là .
Une ville importante.
Liberty City n'a pas fondamentalement changé par rapport à la ville rencontrée dans GTA III. Le jeu se déroulant quelques années auparavant, certaines modifications sont tout de même présentes. Cela donne lieu à un environnement très développé, et plutôt réaliste avec ses banlieues, terrains vagues, etc ... Mais comme dans chaque GTA, en début de partie seule une portion de la ville est disponible, surtout que les dockers sont en grève. Inutile d'essayer de tricher où de faire n'importe quoi, car le gameplay est basé sur GTA III je le rappelle.
Comme dans les précédents épisodes, en plus des missions standards, vous pourrez prendre un taxi, un véhicule de Police, une ambulance, le camion de pompiers, etc ... et déclencher des objectifs secondaires grâce au bouton Haut qui rapportent des Dollars. Évidemment la ville reste interactive. Vous pourrez détrousser les gens, entamer une course poursuite avec la Police. Sinon vous retrouvez évidemment certaines pseudo missions d'infiltrations qui dégénéreront vite une fois l'objet récupéré.
Tony peut modifier ses vêtements. Pour se changer il suffit d'aller dans son appartement et de passer sur l'icone bleu. C'est aussi chez lui que vous trouverez le disque pour sauvegarder sa progression.
GTA 3.3
Techniquement GTA LCS semble un peu plus beau que GTA III, même si certains bugs subsistent. Il n'empêche que le jeu propose un environnement assez riche et assez développé. Les cinématiques en 3D temps réel sont toujours très nombreuses et trahissent quelques lacunes techniques, mais le résultat a été revu à la hausse depuis GTA III justement, avec des textures qui semblent plus précises. Notons toutefois que le jeu n'a pas bougé d'un iota depuis sa sortie sur PSP.
Côté animation, certains ralentissements subsistent toujours mais ça reste globalement fluide. Il y a beaucoup de temps de chargements mais on fait avec surtout qu'ils se déclenchent rarement qu'on en visite les quartiers.
Quelques problèmes de caméra apparaissent également, ce qui ne nuit pas à la jouabilité d'ensemble. Jouabilité qui n'a pas fondamentalement bougé par rapport aux autres GTA, même en voiture, mais qui s'est enrichi de quelques fonctions. Cependant, cela reste un peu laborieux, mais bon, on a l'habitude maintenant. Ah oui notons que votre personnage se noit au moindre contact avec l'eau, ce qui n'est pas vraiment l'idéal.
La durée de vie est assez importante. Compter un minimum de 40h pour le finir. Et encore, vous aurez toujours envie d'aller déambuler dans les villes pour ne rien faire. Même si le jeu est moins ambitieux que San Andreas, il est à noter qu'il n'est disponible qu'à 30 €uros.
Les musiques enfin, sont disponibles une fois dans une voiture comme à l'accoutumée. Évidemment les radios ont été adaptés aux années 1990 et vous retrouvez quelques standards. Globalement le tout est de qualité, tout comme les doublages Américains et les différents bruitages du jeu.
VERDICT
GTA Liberty City Stories est une copie conforme de la version PSP, le multijoueur en moins. Si certains trouveront l'opération discutable, le jeu reste très complet et propose une aventure longue et captivante. Les fans ne se sentiront pas floués, surtout que son tarif de vente n'est que d'une trentaine d'€uros.